Et voilà, il est passé le vernissage. A la fois enthousiasmant et frustrant. Enthousiasmant de voir tous les parents (merci à Paul, 2 mois et demi), les amis, les voisins - Gin est venue malgré sa jambe malade, avec une azalée - , les connaissances et des inconnus (invités) répondre à notre invitation. Frustrant parce que certains invités importants ne sont pas venus. Frustrant aussi de ne pouvoir donner à chacun autant de temps qu’on le voudrait. Il faut passer de l’un à l’autre, interrompre une conversation pour répondre à une question ou vendre une affiche.
Nous n’avons pas dû voir tout le monde, mais nous avons renoué des contacts distendus par le temps : grâce à Envoyé Spécial, nous avons retrouvé Philippe et Martine, compagnons de voyage pendant plusieurs jours pendant notre année sabbatique en 1992/93) maintenant accompagnés de leur fille Gwendoline. Samira, la plus fan des fans de cinéma indien et venue nous donner un coup de main à la vente qui s’est avérée bien faible. Peut-être n’avons-nous pas suffisamment appuyé sur ce point pendant notre promotion. Nous en tirons les conclusions dès aujourd’hui.
Certains se connaissaient déjà : mon médecin et mon ophtalmo, par exemple, et Yann (le designer du catalogue) et Nathalie (rédactrice sur un blog de films indiens) qui avaient travaillé ensemble il y a 20 ans.
Dans ce joyeux mélange, j’ai bien apprécié la présence de nos amis indiens (ou d’origine indienne), leurs compliments et leur étonnement sur la qualité de nos affiches. Le cinéaste-écrivain Vijay Singh a apprécié d’avoir reçu une invitation accompagnée d’un carton avec un petit mot écrit à la main. Il doit nous inviter à une prochaine projection de l’un de ses films que nous ne connaissons pas. Nathalie m’a proposé d’écrire quelques lignes sur Fantastikindia, Ganga nous fait des offres pour Indeaparis. A suivre.
La télévision où passaient les chansons des films de Guru Dutt a été une bonne idée, surtout pour les Indiens à qui les musiques rappelaient leur enfance. Dominique et sa femme Cathy s’étaient occupés du buffet. Je crois qu’il reste encore des amuse-bouches.
Contente, Sally.
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