Dans le "bidonville" de Dharavi, les hommes peuvent se payer une séance de cinéma pour une poignée de roupies. Le confort est à l'avenant. Le Pinky compte deux niveaux, reliés par une échelle-escalier, sans fauteuils ni chaises, où les spectateurs s'assoient, s'accroupissent l'un derrière l'autre ou s'allongent sur le sol, selon l'affluence. Les écrans sont petits, la pellicule est souvent de mauvaise qualité, mais les spectacteurs y trouvent 2 ou 3 heures de détente grâce aux films d'action et aux séquences chantées.
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